Pêle-mêle de Textes et Pensées

Je suis triste ce soir


Mon cœur pleure


Le silence m’entoure


Mon âme me murmure une mélodie


Rien n’y fait !


J’attends un mot


Un geste, un sourire


J’attends de ses nouvelles


Qui ne viennent pas


J’aimerais entendre sa voix


Sentir ses bras m’enlacer


Recevoir de vrais baisers affectueux


De sa part…


Lui rappeler que j’existe


Que je l’aime


Que j’étouffe d’amour pour elle


Elle, ma fille tant aimée…


Comment fait-elle pour ne pas


Entendre mon cri muet


Deviner combien je souffre ?


Comprendre que la vie est courte


Et que demain il sera trop tard


Pour pleurer…


Une mère, nous n’en avons qu’une


Une mère donnerait sa vie pour son enfant


J’attends !


Combien de temps pourrai-je attendre ?


J’écris et mon cœur saigne


J’écris et ma poitrine se serre


J’écris et mes larmes restent bloquer


Au fond de ma gorge


Je voudrais hurler ma peine


Crier mon chagrin


Tellement fort pour que mes mots


Comme par magie


Arrivent jusqu’à elle…


Souffre-t-elle de ce silence


Dans lequel elle s’enferme ?


Pense-t-elle à moi


Eprouve-t-elle le besoin


De décrocher son téléphone ?


Le mien reste silencieux


Sait-elle combien de temps encore


Je serai là ?


Je rêve de la serrer contre moi


De lui dire des mots doux


De lui rappeler le merveilleux bonheur


Lorsqu’elle est venue au monde


Je vais avoir soixante-quinze ans


Je n’en peux plus de


Souffrir physiquement et moralement


Je n’ai plus la force


D’espérer un revirement


Ma vie que j’ai choisie


Est dure à supporter


Pourtant il faut que j’aille


Au bout de mon chemin


Que je suive ma voie


Pour qu’un jour, enfin,


Je puisse voir la Lumière


Au bout du tunnel…


Je t’aime mon enfant


Je Nous Aime.





Le 09 février
12

De mon recueil de poésies:





Le vent emporte mes mots


Des mots de joie, d’espoir


Espoir de voir le monde changer


Changer pour une vie de Paix


Paix entre les peuples


Peuples qui sont tous frères


Frères dont le même sang


Sang rouge qui coule dans nos veines.


Le vent emporte mon amour


Amour qui vole dans tout l’Univers


Univers renfermant tan de beauté


Beauté de la Nature que nous oublions de regarder


Regardons et admirons notre Mère la Terre


Terre, fille de Gaïa


Terre qui nous a vus naître


Naissance pour apprendre l’école de la Vie


Vie qui nous enveloppe et qui vibre en nous


Nous, êtres humains, simples mortels


Mortels qui oublions trop souvent


Le sol que nous foulons…


Apprenons à respecter le plus petit brin d’herbe


Jusqu’à l’immensité des Océans


Le minuscule insecte au plus gros des animaux


La petite pierre et le gros rocher


Tout ce qui marche, rampe, vole, nage


Aimons ce qui a été créé


Pour qu’un ère nouvelle fleurisse sur notre planète

Un acrostiche pour la SAINT VALENTIN:

Sourires
Amour toujours
Ivresse des baisers partagés
Nouvelles douceurs renouvelées
Tendresse offerte à l'être aimé...

Vivons dans le bonheur
Aimons toujours
Les petites joies quotidiennes
Et souhaitons une une journée radieuse à
Nos amis (es) connus et inconnus
Tournons-nous vers tous les amoureux
Illuminons de nos sourire chaleureux
Notre amitié sincère, présente, affectueuse...

De mon recueil de poésies:

IMAGINATION

... Le ciel est gris
Le vent souffle
Les arbres secouent leurs branches
Une pluie fine et serrée mouille le sol
L’hiver est bien là
Mais en fermant les yeux le paysage change
La nature est en fête, colorée, lumineuse
Un ciel bleu illumine la ville
Des oiseaux chantent dans les arbres
Des fleurs éclosent ça et là
Le soleil darde ses rayons
De mon cœur monte douceur et paix
L’imagination est miraculeuse
Elle apporte sérénité et sourires
Juste quelques minutes de méditation
Et l’oppression a disparu
Pour laisser la place à une joie profonde.

oui reina

Encore un poème de mon recueil?

Des cris, des rires
Les écoliers se bousculent en sortant de l'école
Tels des moineaux ils s'ébattent
... Joyeux, innocents, heureux de vivre
C'est la pureté de l'enfance
L'époque heureuse des rires et des larmes
Celle qui forge le caractère
Donne la première leçon
De la Vie qui fait grandir
Une chute, un genou écorché
Quelques larmes... et on repart
Si l'enfant est trop petit
Il ira se blottir dans les bras de sa maman
Se faire consoler, cajoler
Quel doux refuge que le sein d'une mère
Les battements de son cœur sont apaisants
Ils réchauffent le bébé, le jeune
L'ado et même l'adulte
Une maman sait enlacer avec amour
Elle offre une épaule réconfortante
Dépose des bisous sur le front, les joues
Caresse les cheveux
Et dit de petits mots chaleureux
Peu importe l'âge qu'on a
C'est toujours vers elle qu'on va
Une maman chouchoutons-la
Aimons-la tant qu'elle est là.

Citation :

Aimons-la tant qu'elle est là.

Et aussi quand elle n'est plus là

Bien sûr Rigui

Un homme n'est vieux que quand les regrets ont pris chez lui la place des rêves." - J. Barrymore

Et quand ce ne sont pas les regrets qui prennent la place des rêves, il devient quoi l'homme !

auria a écrit:

Et quand ce ne sont pas les regrets qui prennent la place des rêves, il devient quoi l'homme !

pret a tout

auria a écrit:

Et quand ce ne sont pas les regrets qui prennent la place des rêves, il devient quoi l'homme !

il devient "sage" auria , et tout le monde atteint pas cet état beaucoup deviennent juste "amère"....