Pêle-mêle de Textes et Pensées

Celui qui parvient à s'éveiller dans l'être du présent devient semblable à la source : il découvre la force qui est en lui. Et rien ne peut troubler celui qui sait faire jaillir la source en lui. La vie est une source pure et sacrée qui coule en permanence. Celui qui réussit à s'unir à la source du présent trouve le Divin qui l'habite et n'est plus sujet au conditionnement extérieur ; il devient libre. d'Olivier Manitara

Paroles du jour d'ailleurs !

Je vois que nous sommes abonnées au même site

Kailash a écrit:

tu n'as pas osé l'écrire ? pourquoi ? il faut dire les choses auxquelles on pense, ne serait ce que pour les confronter et évoluer

Je sais que c'est idiot mais j'ai parfois encore peur du jugement d'autrui !!

Je me suis demandé aussi quel sens donner à ce conte. Pour moi, il est l'illusion de la liberté que croit obtenir Conchita et surtout l'illusion dans laquelle sont ceux qui ont cru faire le "bien" en commettant le "mal".

En tout cas il donne à réfléchir un peu à la manière de certains koans !

Ca serait intéressant de travailler sur "la peur du jugement d'autrui"
on le fait tous mais cela ne signifierait il pas que nous mêmes les jugeons ? nous les jugeons incapable d'écoute ?

ce texte, je ne l'aime pas car il est très orienté. On ne parle que de Sainte Conchita et ce pauvre Jésus, même s'il est ce qu'il est, ne mérite pas autant de mépris et de propos aussi venimeux. Pourquoi ce prénom d'ailleurs ?

ce conte me parle de la haine ordinaire avec sa laideur affichée d'une part et son pendant tout aussi moche mais édulcoré de l'autre part

personne ne sait aimer dans cette histoire

Citation :

Ca serait intéressant de travailler sur "la peur du jugement d'autrui"
on le fait tous mais cela ne signifierait il pas que nous mêmes les jugeons ? nous les jugeons incapable d'écoute ?

Bien sûr. Tu as raison. Lorsque j'ai peur de la réaction de l'autre, je présuppose sa réaction et donc je l'enferme dans un schéma. Si j'ai de la chance, il ne se laissera pas enfermer, mais si je renouvelle encore et encore mon jugement a priori, alors il finira peut-être par se laisser enfermer. Comme Jésus s'est laissé enfermer par Conchita dans son rôle d'ivrogne et d'incapable et comme Conchita s'est laisser enfermée par ses amis dans son rôle de victime et de femme malheureuse.

Tu sais, près de chez nous, il y a un homme qui s'appelle Jesus. Si, si c'est vrai ! On prononce son nom à l'espagnol.
Il est bourré du soir au matin et du matin au soir. Enfin peut-être pas entre le lever et le petit déjeuner ! J'exagère.
Eh bien tout le monde l'adore. Etre alcoolique ne fait pas de lui un méchant homme et sa femme même si elle crie beaucoup l'aime malgré tout.

Merci de m'avoir réveillée !

Tu sais Auria on agit très souvent ainsi, soit en parlant peu soit en parlant trop

et ce que tu relèves est très juste on enferme les autres dans un rôle ou on s'enferme soi même, voir les deux. Qu'est ce qui se joue en nous à ce moment là ? accepter d'être bourreau ou victime ? qu'est ce qui définit qu'on va choisir l'un ou l'autre ? ça me fait penser à la haine et l'amour qui sont si proches. Bourreau et victime sont proches ?

Ton "Jésus" est une belle âme sans doute, mais il s'est perdu dans ce monde. Pourquoi ? ça reste un mystère

Ne me remercie pas ! remercie Khadija d'avoir posté ce conte sur lequel nous pouvons échanger

Chacun participe par ses écrits à une réflexion globale. Parfois nous partageons notre réflexion, parfois non. Pour moi, prendre conscience du fait d'enfermer l'autre et de m'enfermer moi-même dans un schéma de pensée n'empêche pas que je préfère souvent me taire car je sais que je ne suis pas prête à prendre le risque de la réaction que mes mots sont susceptibles d'engendrer.

Lorsqu'un serpent mu, il est très fragile durant tout le temps de la mu, puis le temps nécessaire à ce que la nouvelle peau se durcisse. Instants critiques durant lesquels il est vulnérable. Avoir conscience de sa vulnérabilité permet d'éviter les blessures inutiles.

Bourreau et victime sont proches ? Je vais plus loin. Pour qu'il y ait une victime il faut un bourreau. Jusque là je n'ai jamais choqué personne. Mais l'inverse est vrai. Pour qu'il y ait un bourreau il faut qu'il y ait une victime. Ce qui signifie que la victime à sa part de responsabilité dans le fait que l'autre soit devenu bourreau. Dans le cas de cette histoire on arrive facilement à le concevoir. Mais lorsqu'il s'agit de meurtre, de viol, de torture... Aujourd'hui seuls deux personnes dans mon entourage conçoivent que je puisse vouloir demander pardon à mes "bourreaux". Ce sont celles qui m'ont encouragée à avoir cette démarche.

Démarche difficile qui ouvre sur une autre compréhension de l'autre et du monde. Démarche que je suis encore loin d'avoir accomplie.

Comme quoi au détour d'une réflexion, de bien belles choses nous attendent parfois. Cela vaut le coup de prendre des risques de temps en temps
(en même temps, sur internet, le risque est vraiment minimime !)

Citation :

Ne me remercie pas ! remercie Khadija d'avoir posté ce conte sur lequel nous pouvons échanger

Kailash à raison. Je lis, j'apprécie et je ne remercie jamais.
Dire que l'on apprécie fait toujours plaisir.
Alors merci à toi Khadija pour ce plaisir partagé et ces réflexions amorçées.

Auria je viendrais te répondre, là je n'ai plus le temps. Mais le sujet m'intéresse et nos échanges m'aident aussi bp à avancer

Je pars en WE ce soir et j'ai l'intendance à gérer pour le groupe et il y a du monde !

DOmmage que Seb ne soit pas là, il m'aurait aidé à trouver des menus équilibrés, bons, rapides

Proverbes / Question 1
1. D'après le proverbe, à qui la chance sourit-elle ?
Aux audacieux

Proverbes / Question 2
2. "L'enfer est pavé de bonnes intentions" est un proverbe issu d'une citation de Jean-Paul Sartre.
Faux

Proverbes / Question 3
3. D'après le proverbe, que faut-il garder pour la soif ?
Une poire

Proverbes / Question 4
4. Le proverbe Rien ne sert de courir, il faut partir à point est la morale d'une fable de Jean de La Fontaine.
Vrai

Etymologie / Question 1
5. Calvaire et chauve appartiennent à la même famille étymologique.
Faux

Etymologie / Question 2
6. Le nom hasard vient de l'arabe az-ard. Que signifie ce nom dans cette langue ?
Le dé

Etymologie / Question 3
7. Zen est un mot emprunté :
Au Japonais

Etymologie / Question 4
8. La guillotine doit son nom à Joseph Ignace Guillotin qui était :
Médecin

Synonymes et Antonymes / Question 1
9. Quel radical latin a pour synonyme le radical grec "tétra-" ?
Quadri-

Synonymes et Antonymes / Question 2
10. Interlope a pour antonyme légal.
Vrai

Synonymes et Antonymes / Question 3
11. De ces deux termes, lequel est synonyme de "partial" ?
subjectif

Synonymes et Antonymes / Question 4
12. Lequel de ces adjectifs est synonyme de "primesautier" ?
spontané

Voici ce que ce conte et les réactiond qu'il suscite en vous m'inspire:

Chacun agit et réadit avec les moyens qu'il a, en pensant faire pour le mieux pour lui et/ou pour les autres. Il fait comme cela parce qu'il ne sait pas faire autrement, pour différentes raisons je pense, la plus commune étant qu'il n'a pas appris à faire autrement. Et cela est vrai pour chacune de nous, Nous agissons avec les moyens que nous connaissons, et ils sont différents pour chacun d'entre nous. Notre regard sur l'autre se base sur les moyens que nous avons nous, pas sur ceux qu'il a lui, d'où notre jugement.

Pardon et amour nous donnent la possibilité de sortir de ce système.

En effet Riguignol. Nous ne pouvons faire autrement que d'être ce que nous sommes et nous sommes la "somme" de tout ce que nous avons vécu depuis notre naissance et de tout ce que nous avons compris et intégré des enseignements que nous avons reçu. Comment ceux qui n'ont pas été aimés vraiment, d'un amour responsable qui aide à faire grandir, pourraient-il aimer ? Ils ne pourront apprendre que lorsqu'ils auront rencontrer quelqu'un qui le leur montrera.

Par contre, ce que je crois, c'est qu'il est possible d'avoir conscience de soi et de l'autre. Que plus cette conscience s'étend, plus on peut limiter les jugements qui enferment. Cela ne signifie pas ne plus juger. Cela signifie accepter de voir l'autre agir différemment de ce qui nous paraît juste et lui donner alors la possibilité de se "tromper". Car peut-être que ce que nous croyons être une erreur qu'il ne devrait pas faire n'est en fait qu'un moyen d'apprendre pour lui. Ainsi, sur son chemin de vie il ne se trompe nullement. Il apprend.

« Je n’essaierai pas de modifier rien de ce que je pense, ni rien de ce que vous pensez (pour autant que je puisse en juger) afin d’obtenir une conciliation qui nous serait agréable à tous. Au contraire, ce que j’ai envie de vous dire aujourd’hui, c’est que le monde a besoin de vrai dialogue, que le contraire du dialogue est aussi bien le mensonge que le silence, et qu’il n’y a donc de dialogue possible qu’entre des gens qui restent ce qu’ils sont et qui parlent vrai. »

Albert Camus
Écrits politiques

Salut Sébastien.
Ta présence et ton sourire mettent du soleil dans cette grise journée !

je rejoint ta pensée Auria



Aussi celle concernant Sébastien lol

Bonjour Auria, bonjour tout le monde

En fait quand je lis ton premier paragraphe, je ne peux m'empêcher de penser que tu supposes beaucoup. Tu supposes que tu pourrais avoir des mots malheureux mais apparemment tu n'en sais rien. Alors c'est dommage de ne pas échanger. Tu n'as jamais imaginé que tes silences pouvaient aussi être mal interprétés ?

concernant sa vulnérabilité, je pense qu'on l'est la plus grande partie de sa vie, nous sommes tout le temps entrain de muer car la vie est en perpétuel changement. Alors pourquoi le vivre comme une période dangereuse puisque c'est le principe même de la vie ?

Bourreau et victime là j'avoue rester prudente dans ce domaine. Effectivement pour qu'il y ait bourreau il faut une victime et inversement, mais comment cela s'articule je n'en sais rien. Ca dépasse largement mes compétences et le terrain est bien trop dangereux pour que je puisse échanger avec toi.

et oui au détour d'une conversation de bien belles choses nous attendent alors conversons !

enfin voilà mon humble avis

auria a écrit:

Chacun participe par ses écrits à une réflexion globale. Parfois nous partageons notre réflexion, parfois non. Pour moi, prendre conscience du fait d'enfermer l'autre et de m'enfermer moi-même dans un schéma de pensée n'empêche pas que je préfère souvent me taire car je sais que je ne suis pas prête à prendre le risque de la réaction que mes mots sont susceptibles d'engendrer.

Lorsqu'un serpent mu, il est très fragile durant tout le temps de la mu, puis le temps nécessaire à ce que la nouvelle peau se durcisse. Instants critiques durant lesquels il est vulnérable. Avoir conscience de sa vulnérabilité permet d'éviter les blessures inutiles.

Bourreau et victime sont proches ? Je vais plus loin. Pour qu'il y ait une victime il faut un bourreau. Jusque là je n'ai jamais choqué personne. Mais l'inverse est vrai. Pour qu'il y ait un bourreau il faut qu'il y ait une victime. Ce qui signifie que la victime à sa part de responsabilité dans le fait que l'autre soit devenu bourreau. Dans le cas de cette histoire on arrive facilement à le concevoir. Mais lorsqu'il s'agit de meurtre, de viol, de torture... Aujourd'hui seuls deux personnes dans mon entourage conçoivent que je puisse vouloir demander pardon à mes "bourreaux". Ce sont celles qui m'ont encouragée à avoir cette démarche.

Démarche difficile qui ouvre sur une autre compréhension de l'autre et du monde. Démarche que je suis encore loin d'avoir accomplie.

Comme quoi au détour d'une réflexion, de bien belles choses nous attendent parfois. Cela vaut le coup de prendre des risques de temps en temps
(en même temps, sur internet, le risque est vraiment minimime !)

riguignol a écrit:

Voici ce que ce conte et les réactiond qu'il suscite en vous m'inspire:

Chacun agit et réadit avec les moyens qu'il a, en pensant faire pour le mieux pour lui et/ou pour les autres. Il fait comme cela parce qu'il ne sait pas faire autrement, pour différentes raisons je pense, la plus commune étant qu'il n'a pas appris à faire autrement. Et cela est vrai pour chacune de nous, Nous agissons avec les moyens que nous connaissons, et ils sont différents pour chacun d'entre nous. Notre regard sur l'autre se base sur les moyens que nous avons nous, pas sur ceux qu'il a lui, d'où notre jugement.

Pardon et amour nous donnent la possibilité de sortir de ce système.

bonjour riguignol

le souci est justement : la réaction

on reçoit des stimuli et au lieu d'observer on réagit
stimulation, réaction
voilà ce qui serait notre source de problèmes sans fin

il nous manquerait l'observation au lieu d'être dans l'action-réaction

pourquoi toujours réagir ?

on peut apprendre à ne pas juger, peut être en pardonnant et en aimant comme tu le suggères, mais je me demande s'il n'y a que ça. Pour pardonner et aimer il faut encore être dans l'humain et dans la réaction et dans le mental. Alors je ne sais pas comment s'appelle cette étape dont je parle : l'empathie peut être.

auria a écrit:

« Je n’essaierai pas de modifier rien de ce que je pense, ni rien de ce que vous pensez (pour autant que je puisse en juger) afin d’obtenir une conciliation qui nous serait agréable à tous. Au contraire, ce que j’ai envie de vous dire aujourd’hui, c’est que le monde a besoin de vrai dialogue, que le contraire du dialogue est aussi bien le mensonge que le silence, et qu’il n’y a donc de dialogue possible qu’entre des gens qui restent ce qu’ils sont et qui parlent vrai. »

Albert Camus
Écrits politiques

C'est un écrit politique ?
pourquoi met il mensonge et silence au même niveau ?
le silence est aussi une façon de dire, enfin il me semble

Bonjour
Si tu dis que le silence est le plus grand des mépris
alors peut être oui
au même niveau de mensonge
puis nous nous cachons la face, face au réel, à la réalité du quotidien du monde
nous avons une apparence qui n'est pas nous, mais seulement ce que veulent les autres
Le silence peut être une façon de dire, possible
de réfléchir avant d'agir, mais dire que nous ne savons pas, là sur le moment,
mais nous en reparlerons plus tard je t'en donnerai ma réponse.
A voir de plus près !

Bonjour Sabine

Ton "si" me perturbe. Enfin moi je ne le dis pas en tout cas
Le silence est aussi une façon de proposer la réflexion et d'observer

Face à ce que je suis je me cache de moins en moins et d'ailleurs c'est un tel bonheur d'arrêter de jouer à cache cache avec soi même et les autres que l'intérêt se fait bien maigre

Si je n'ai pas de réponse, si j'ignore, je vais dire : je ne sais pas. Je ne vais pas rester silencieuse.

Sabine a écrit:

Bonjour
Si tu dis que le silence est le plus grand des mépris
alors peut être oui
au même niveau de mensonge
puis nous nous cachons la face, face au réel, à la réalité du quotidien du monde
nous avons une apparence qui n'est pas nous, mais seulement ce que veulent les autres
Le silence peut être une façon de dire, possible
de réfléchir avant d'agir, mais dire que nous ne savons pas, là sur le moment,
mais nous en reparlerons plus tard je t'en donnerai ma réponse.
A voir de plus près !

Kailash a écrit:

Bonjour Auria, bonjour tout le monde

En fait quand je lis ton premier paragraphe, je ne peux m'empêcher de penser que tu supposes beaucoup. Tu supposes que tu pourrais avoir des mots malheureux mais apparemment tu n'en sais rien. Alors c'est dommage de ne pas échanger. Tu n'as jamais imaginé que tes silences pouvaient aussi être mal interprétés ?

concernant sa vulnérabilité, je pense qu'on l'est la plus grande partie de sa vie, nous sommes tout le temps entrain de muer car la vie est en perpétuel changement. Alors pourquoi le vivre comme une période dangereuse puisque c'est le principe même de la vie ?

Bourreau et victime là j'avoue rester prudente dans ce domaine. Effectivement pour qu'il y ait bourreau il faut une victime et inversement, mais comment cela s'articule je n'en sais rien. Ca dépasse largement mes compétences et le terrain est bien trop dangereux pour que je puisse échanger avec toi.

et oui au détour d'une conversation de bien belles choses nous attendent alors conversons !


enfin voilà mon humble avis

Tu sais, je travaille avec les chevaux et il faut beaucoup de patience de temps et d'amour pour rendre confiant un cheval qui a été traumatisé, pour lui réapprendre à ne pas avoir peur d'une simple main qui se lève. Parfois cela ne lui passe jamais complètement

Je n'ai pas associé la vulnérabilité au danger, je l'ai associée à la prudence. Etre vulnérable, c'est être fragile, affaibli ce qui implique une certaine incapacité à répondre aux forts stimuli de la vie. Ne pas avoir conscience de cela c'est courir le risque d'avoir des réactions disproportionnées. A l'inverse, le garder à l'esprit permet d'agir au mieux de ce qui semble juste dans l'instant. Bien sûr on peut se tromper. Parfois je me tais par peur : réaction, parfois par choix : action.

Lorsque l'on est conscient on devient pleinement responsable. Ce n'est pas pour autant que les choses sont plus faciles à vivre. Mais cela permet de les accepter telles qu'elles sont !

J'aime bien ton humble avis !

Kailash a écrit:

auria a écrit:

« Je n’essaierai pas de modifier rien de ce que je pense, ni rien de ce que vous pensez (pour autant que je puisse en juger) afin d’obtenir une conciliation qui nous serait agréable à tous. Au contraire, ce que j’ai envie de vous dire aujourd’hui, c’est que le monde a besoin de vrai dialogue, que le contraire du dialogue est aussi bien le mensonge que le silence, et qu’il n’y a donc de dialogue possible qu’entre des gens qui restent ce qu’ils sont et qui parlent vrai. »

Albert Camus
Écrits politiques

C'est un écrit politique ?
pourquoi met il mensonge et silence au même niveau ?
le silence est aussi une façon de dire, enfin il me semble

Peut-être parce que certains silences sont des mensonges par omission ? Le silence est certes une façon de dire mais le dialogue implique la parole.

Sabine a écrit:

Pardon et amour, sortir de se système
que de pardons et de chutes pour se laisser modeler et devenir amour l'un pour l'autre.