assez flou dans le sens que c'est une histoire personnelle mise en métaphore.
ainsi parcourt t'il en moi comme un fluide divin grimpant le long des branches de mon corps apportant une certaine couleur a ce pauvre arbre mort...
le tronc sinueu grugé par le vent..le dos plié en t'attendant.
Un corbeau perché sur mon flanc rit de ma patience,
comme si lui savait que nous etions les seuls en ce desert et que personne ne viendrais jamais.
il a volé aux alentour et vu les tours. babylone et les vautours. qu'elques rats et un loup en quete d'une proie mais personne qui ne s'approche de pres ou de loin a moi...
je suis né d'une graine échoué, d'une certaine fertilité certe mes dans une coquille empoisoné...
maintenant je m'abandonne et les irondelles ne voles plus entre mes branches, aucune mere n'a fait son nid personne na etabli logis...plus de feuilles pour proteger les malheureux
pris en proie par les dures vents d'hivers. bon nombre de bras pris par le tonerre, certains dont j'étais fiere...comme un pere je les regardais pousser, sereinement sans penser
plongeant tranquillement dans cet emerveillement que m'apporte la lenteur et la perfection de l'essence profonde de la vie..
Meme encore avec ce vide qui m'entour et pourri mon
interieur je ne pourrais dire combien je vous aimes petits bourgeons du printemps.
Que mes pleurs vous donne vie et joie, et que ma foie renaisse une seconde foi.
le soleil, demain ce leveras sur moi et je vous verrai plus vieux mes enfants.+