LE SILENCE
Ô, charme des roseaux qui plient sans jamais rompre,
j'apprécie ton silence aussi doux que savant.
Il est digne des fées que parfois l'on rencontre
aux chevet des maman où au détours des champs.
Magicienne endormie et princesse du temps
tu vas selon mes nuits rallumer les clartés
d'onirique passés et de futurs mouvants :
d'un seul geste tu luis dans mes rêves d'enfant !
- que deviennent les sceaux qui me sont destinés ?
"ils partent dans un rêve et combattent la mort.
recouvert d'une armure ils se sont courronés
chevaliers d'un pays où les pommes sont d'or. "