qui suis je?

qui suis-je? longtemps cette question, m'a interpelée? qui suis je?

suis je bon? oui

suis je mauvais? souvent la question m'est posée, je réponds je veux etre bon car être bon c'est être aimé, c'est etre beau, c'est etre reconnu, alors je suis bon, je parais bon et on m'aime, mais c'est nier une partie de moi car je suis aussi parfois mauvais, enfin en tout cas certains le dise et je ne peut nier que les actes qu'ils décrivent je les faits, suis je "mauvais"? oui

Qui suis je alors? suis je cet animal pensant que l'on appele humain, social et sociable, intelligent mais aussi irréfléchi constructeur tout autant que destructeur, suis je ce sombre être lumineux en évolution? oui

Apres maintes péripéties autour de ce theme, bon mauvais bien, mal? je compris que je peux etre les deux et que je suis celui que je choisi d'être, et plus je prends conscience de ma facon de fonctionner, plus j'ai la possibilité de choisir qui je suis et qui je deviens, et plus je me libere du moule de ceux qui croient savoir qui je suis.

Mais la question reste toujours alors qui susi je? cette question lancinante qui dit que tu saura qui tu es tu saura, ce que tu as à faire.

Alors je suis parti dans les réflexions obsoletes sur une possible mission, un possible provenance "spéciale" ou âme spéciale, tout ca n'est pas faux, il est possible pourquoi pas que mon être est passé de corps en corps aie meme vecu sur dautre galaxie, aie connu des enseignements, des choses importantes, mais ce que j'étais hier ne dis pas qui je suis aujourd'hui.

Et jai continué ma quete, appris plein de chose, accepté certaines, rejetté dautres, apliqué quelques unes et je grandis, je me transformais, cette quête de qui suis je, me transformais, et un jour à cette question qui suis je, je répondis, c'est sur je ne suis pas le même qu'hier?

La seule chose qui soit permanente c'est le changement et si je veux répondre de facon permanente à cette réponse, je dois répondre je suis changement, je suis variation, je suis , je suis , je suis la vie? c'est éclair me vint en compagnie de mes grands amis fidèles les arbres. (fidèles car ils ont su rester droit;) Je suis la vie, je ne peux mourrir je suis permanent et la seule chose que j'ai à faire c'est de vivre, vraiment et ca c'est tout un travail. Oser vivre sans peur. car rien ne sert d'avoir peur; tout change, rien n'est permanent sauf le changement.(la peur est souvent plus pénible à vivre que lévénement qui est cause de peur) Je suis une forme qui se déforme et crée des formes et jamais la forme ne fut séparée du fond ou de son contenant. ce jour la je ne fis pas que le penser, je le sentis dans tout mon être, la meme chose m'animai moi et larbre, moi et le vent, et l'herbe, et la rivière et tous me répondaient nous sommes. il n'y a avait pas dautre réponse à qui suis je? que je suis. Et d'autres choses à faire que de vivre.

Tu es dans les citations en ce moment Chant ^^

Citation :

et plus je me libere du moule de ceux qui croient savoir qui je suis.

Croire que l'on peu ce connaitre soi-meme, sans prendre part de son entourage ou de l'opinion d'autrui est une erreure, et je suis affirmatif et n'en dérogerais point sur ce fait !
Ce n'est pas un hazard quand on nous blame, pas plus que nous avons tel parent, amis ou connaissances. Ce sont tous des miroire de ce que l'on est par rapport a ce qu'il sont, eux.

Il ne sert a rien d'etre bon, si tu ne fait rien pour changer ce monde que ce soit en bien ou en mal.
L'important est de faire ce qui vous semble juste car un mal peut etre un bien tout comme un bien peut etre un mal.

Je connais des personnes, véritables torsionnaires, dans mon travail. Quand j'observe ce qu'ils font, ce pseudo-mal qu'ils font subir a autrui, je me dits quelle chance pour celui qui a l'opportuniter d'observer ce qui ce passe. Chacun a un role et joue son propre role.
La victime qui ce plein du mal qu'on lui fait n'est pas a plaindre et n'est vraiment pas quelqu'un de meileur que le pseudo bourreau, qui lui n'est pas plus mauvais que la victime.

Qu'importe le role que l'on choisie, le mal, le mauvais ou n'importe autre, c' est toujours en accord de notre plein gres.

Pour sortir de ce schémas bon/mauvais, il faut ce regarder, regarder ce qui amène ce genre de schémats. Interieur = Exterieur et vis versa.

Citation :

Croire que l'on peu ce connaitre soi-meme, sans prendre part de son entourage ou de l'opinion d'autrui est une erreure, et je suis affirmatif et n'en dérogerais point sur ce fait !
Ce n'est pas un hazard quand on nous blame, pas plus que nous avons tel parent, amis ou connaissances. Ce sont tous des miroire de ce que l'on est par rapport a ce qu'il sont, eux.

je suis bien d'accord, il faut toujours écouter, j'en suis persuadé aussi et touours faire une introspection, mais je pense sincérement que la vison que l'autre à de nous est trés trés souvent tronquée, et la vision que j'ai de l'autre l'est tout autant, et c'est tout un travail d'introspection, pour faire le tri comperndre ces ombres, sans accpeter le poids que l'autre y met. Et personne n'est à plaindre ou à culpabiliser c'est sur et je ne culpabilise personne. J'exprime, il faut pouvoir exprimer les choses sincérement, je crois. Et j'aimerai vraiment dépasser le stade du miroirp pour voir la différence en l'autre et accepter l'autre dans toute sa différence, sdans remttre en question.

tout à sa raison et j'ai accepter tout ce qui m'arrive, j'en suis persuadé, mai spourquoi ai je accepter ce moule, la est la question? et depuis que j'ai répondu à la question, je ne veux plus ce moule, ni ce qui me fait accepter cela. je me libère et ca peut provoquer des tensions, je suis souvent tendu.

Et c emoule est bien réelle, il suffit d'écouter une converstaion entre les parents et les enfants pour comprendre, que cesoit au magsin, à lapiscine, tendons l'oreille, il ya une matrice mais nous avons le pouvoir.

j'ai parfois du mal à prendre le role de lobservateur, je suis trés investi, trop peut être mais alors laje rentre dans un moule.

Il ne sert a rien d'etre bon, si tu ne fait rien pour changer ce monde que ce soit en bien ou en mal.

Citation :

L'important est de faire ce qui vous semble juste car un mal peut etre un bien tout comme un bien peut etre un mal.

La je ne suis pas d'accord, car le monde tourne sans nous et change sans nous, tout change et toi tu change, rien que le fait de vivre de croire, de rever, de creer dans n'importe quel sens agis avec ce qui est. vouloir changer le monde ces se casser la gueule, je crois, mais quand tu dis il faut juste faire ce que l'on croit juste, la je suis entièrement d'accord. La finalité ne nous appartient pas, et je pense que une fois laction faite il ne faut pas se préoccuper de sa finalité, juste vivre et faire en accord avec soi, enfin en essayant toujours d'être le plus en accord avec soi.

chacun cherche le meilleur, offrons nous le meilleur.

Au boulot, et comme tu dis chant, c'est un chemin et ce n'est que le mien et il n'y a que ca que je puisse essayer de partager, mon vécu.

Amitiés.

qui suis-je ? je suis qui aspire à devenir Je Suis, car tel est le Plan, et je suis, Je Suis mon chemin . Tout le reste n'a pas vraiment d'importance, mon corps, mon égo, les évènements,car impermanents, donc illusoires, et comme tu le dis si bien, Sébastien, ah vraiment, je t'aime, toi, mais pas que toi hahaha," la même chose m'animait, moi et l'arbre....", et ben voilà, on y arrive, comme dit la pub,à ressentir cette unité, cette appartenance à l'Essence qui, elle, est permanente. Bon, j'arrête là, pas que ça à faire, bizzz .

je me pose la même question depuis des années sans trouver de réponses. C'est une fois que noous aurons compris notre place ici bas que nous saurons qui nous sommes.

Je m'en suis souvent tenu à cette citation, le fameux Cogito ergo sum. Mais elle reste encore insuffisante pour moi.

Et toc,toc !



JE SUIS LA

qui suis-je? je pense soudain à ce qu'à dit Jésus : je suis celui qui EST, je suis le verbe"

Oui, le qui suis je.

Je me demandais sans cesse : "Qui suis je ?", il est imposible de compter le nombre de jours et de nuits que j'ai passé dans cette interrogation. L'intellect donnait des réponses entendues des autres ou provenant de conditionnements. (un monstre insensible, un monde différent) Elles étaient toutes empruntées, sans vie. Elles ne m'apportaient aucun contentement. elles résonnaient un peu à la surface, puis disparaissaient. Elles ne touchaient pas l'être intérieur. Elles n'avaient aucun écho dans les profondeurs.

Il ya vait beaucoup de réponses à la question, ma question privilégiée de tout les instants, aucune n'était correct et ne me touchait. Et je vis que cette question était mienne et que les réponses venaient de l'extérieur, la question jaillissait de monêtre le plus intime,les réponses étaient imposées de l'extérieur.

Cette compréhension devint une révolution, entrer dans une nouvelle dimension. Les réponses de l'intellect étaient insignifiantes : elles n'avaient pas de rapport avec le problème. Une illusion s'écroula, avec quel soulagement !

Une porte fermée , grande ouverte, remplissant l'obscurité de lumière. Mon intellect avait fourni les réponses, c'était là mon erreur. A cause de ces fausses réponses, la véritable réponse ne pouvait surgir. L'intellect était l'obstacle. C'est une semence qui cherche à percer le sol afin d'atteindre la lumière.

Lorsque ceci devint clair, les réponses se mirent à disparaitre. Le savoir acquis de l'extérieur commença à s'évaporer. Je ne faisais rien, je me contentais d'observer, un simple témoin.

c'est une soif, l'être vibre, une soif intense, ma vie était devenu cette soif, tout brûlait ardemment.

Le flot incessant des pensées s'était arrêté. Que c'était -il passé ? La périphérie était tranquille.

Puis, j'ai compris que j'étais moi même la question. C'est une explosion soudaine, une de ces explosions où je me trouve à m'allonger par terre tel un plongeur, la terre m'appelait.

je suis l'alpha et l'omega, à dit le Christ, parait il, tout est la, je suis le début et la fin, dans le paradoxe, comme tu le dis chant, je te rejoinds parfaitement, accepter toute l'amplitude du mouvement, c'est la que se trouve la paix je crois.