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 Un discours à méditer?

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4 participants
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Reïna

Reïna


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MessageSujet: Un discours à méditer?   Un discours à méditer? Icon_minitimeVen 11 Juin - 8:27

Gilles Bernheim, Grand rabbin de France



L'existence de
plusieurs religions dans une même société peut déboucher sur
l'affrontement ou sur une véritable paix. La première option est
probable si les particularismes voisinent sans dialoguer ni assumer
leurs responsabilités, la seconde option exige des efforts conscients
et prolongés de toutes les confessions, mais peut enrichir de façon
exemplaire la paix républicaine.




Ces deux options sont d'actualité en France, alors même que notre
pays a longtemps été un modèle d'intégration et de laïcité. La
coexistence presque tranquille entre citoyens de confessions ou
d'origines si diverses s'est transformée, ici ou là, en tensions
exacerbées.
Au-delà du constat ou de l'explication de cette dégradation, je
souhaite dire ici ma conviction que les religions - si on s'en donne la
peine, chacun à son niveau - peuvent contribuer à une France plus
apaisée.
J'ai travaillé sur ce texte tout au long du mois de mai. L'assaut
mené par la marine israélienne et dont je déplore les victimes, lui
donne, hélas, une actualité encore plus aiguë. Au cours des dernières
décennies, l'accélération et l'amplification de la circulation des
personnes et des biens, des capitaux, des idées, mais aussi des images,
des styles de vie, et même du travail désormais délocalisé - ce qu'on
appelle la mondialisation - ont transformé grand nombre d'anciennes
spécificités locales. Aujourd'hui, les histoires, c'est-à-dire les
mémoires et les discours, se mêlent et interfèrent.
Car, en Europe, la même place et la même valeur sont aujourd'hui
données à toutes les mémoires, d'où ce sentiment de confusion,
conséquence à la fois de la mondialisation et du relativisme. Cela
requiert de repenser l'idée que l'on se faisait des communautés
humaines et cette transition ne va pas sans mal.
Une conséquence bien connue dans notre espace français de ce nouvel
état des choses est la coexistence, dans les mêmes écoles, quartiers et
lieux publics, d'hommes et de femmes nés dans différents pays, avec
leur langue, leurs usages, leurs costumes, leur vision du monde et des
rapports sociaux, et aussi avec des rivalités politiques ou religieuses
mutuelles venues d'autres horizons et nourries à leur tour
d'informations planétaires. Demain, nos villes peuvent être en
ébullition parce qu'en réaction à la situation dans la province de X un
acte de violence se sera produit dans la capitale de Y.
L'autre vient aujourd'hui de plus loin que jadis : ce n'est plus la
France qui s'étend, c'est le monde qui l'habite. Hier, ceux de langue
d'oïl et ceux de langue d'oc, le catholique et le protestant, le
sans-culotte et le Vendéen ont appris lentement, douloureusement, à
cesser de s'entre-haïr et de s'entre-tuer, à garder leur spécificité
tout en l'effaçant bon gré mal gré là où ils devaient coexister et
avoir un projet commun.
Aujourd'hui comme hier, toute pratique commune a ses règles, depuis
les jeux de société jusqu'au grand jeu de la société civile. On ne
renonce à rien de soi en acceptant, de bonne intelligence, le vivre
ensemble, sa discipline et celle de l'Etat. Tout ne saurait en ce
domaine reposer sur la pédagogie de l'école et des pouvoirs publics.
Au-delà du maintien de l'ordre, ceux-ci ne peuvent faire entendre qu'un
discours général, rationnel ou émotionnel, dont la rhétorique propre
est éloignée des nouveaux arrivés et ne fait pas référence à leurs
valeurs et affects spécifiques. Ce discours est récusé d'avance par les
extrémistes, il est sans effet sur les esprits faibles et échauffés,
fragilisés par l'exil et la précarité, et pleins d'incompréhension pour
cette France moderne qui leur est encore étrangère.
Il appartient donc à ceux qui forment les "majorités silencieuses",
et aussi à leurs élites et à leurs cadres, d'assumer leurs
responsabilités, chacun à son niveau, d'amener tous leurs membres au
pacte républicain et de faire entendre raison à leurs minorités de
boutefeux. Dussent-ils le faire au nom même et dans le langage de leurs
traditions spirituelles, là et quand le discours sur la nation et sur
les valeurs de la République n'est pas audible par tous.
Il est grand temps que chacun prenne conscience de sa responsabilité
personnelle à tous les échelons, y compris les plus modestes, ceux du
voisin ou du parent qui observe un proche en train de glisser dans une
conduite antisociale ou un délire de violence politique ou religieuse,
et qui doit le raisonner, y compris, s'il le faut pour se faire
comprendre, au nom de ses propres valeurs.
Chacune des grandes religions ou philosophies représentées dans
notre pays possède des trésors de raison, de justice et d'esprit de
paix qu'elle doit mobiliser pour aider la République à être, au
bénéfice de tous, le bras séculier qui s'efforce de faire advenir la
raison, la justice et la paix. En dépit des divergences dogmatiques,
tous les esprits de bonne foi peuvent s'entendre sur ce que l'on entend
empiriquement par là.
À l'heure où j'écris, tout cela ne saurait demeurer des vœux pieux.
Coups de couteau contre des juifs à Strasbourg et à Nîmes, mitraillage
d'une mosquée à Istres, profanation de cimetières... Des cerveaux
dérangés se livrent à des agressions sauvages parce qu'ils se sont
imprégnés de haine dans l'atmosphère viciée qui les entoure. Au-delà de
l'inqualifiable violence que constituent des épisodes de cette nature,
on sait trop quelles passions contradictoires et également déplorables
ils viennent encore exaspérer : émulation ignoble, tentation de la
stigmatisation collective, méfiance de tous à l'égard de tous.
Aujourd'hui, le havre de paix et de raison que représente encore,
malgré ses imperfections, une société comme la nôtre est en péril.
Celui qui, inversant les rapports de l'histoire et de la géographie,
prétend régler ici les conflits et les comptes de là-bas, fait fausse
route. Ici, nous n'avons pour le faire que les grands mots, les images
chocs et les informations manipulées.
Là-bas, que ce soit au Proche-Orient ou ailleurs, une paix digne de
ce nom ne se conclut jamais qu'entre ceux qui font les frais de la
guerre. La discussion est dure, parfois elle n'aboutit pas, comme
celle, dans la Bible, du patriarche Jacob et de son beau-père Laban,
lorsque l'interlocuteur persiste dans la mauvaise foi. Mais il n'est
pas d'autre voie que la discussion directe, ou, à défaut, sous la
tutelle d'un tiers garant. Là-bas, pour finir les guerres. Ici, pour
les prévenir. Discussion face à face, les yeux dans les yeux, refusant
le plaisir facile des monologues.
Nul de nous ne veut rien renier des solidarités qui l'attachent à
des frères de religion ou d'origine, malheureux, en danger à travers le
monde. Les juifs savent la force de ces liens-là. Mais ces solidarités
légitimes ne doivent pas servir d'excuse pour ne pas faire son devoir,
ici et maintenant. Chacun doit se conduire en participant pacifique,
loyal et responsable d'un destin français et européen, désormais commun.
L'histoire ne se fantasme pas, elle se construit, encore et
toujours, ancrée dans les lieux, par l'innombrable détail des actes et
des négociations. Tous autant que nous sommes, vieilles populations et
nouveaux arrivés, nous sommes condamnés à faire histoire ensemble parce
que nous partageons le même sol.
Il ne nous appartient pas d'inventer des formules qui feront la paix
au Proche-Orient ou ailleurs, encore moins d'agir ici avec violence
pour assurer là-bas je ne sais quelle victoire, mais plutôt de nous
aider du patrimoine d'expérience et de savoir-vivre de ce vieux pays
qu'est la France, de trouver entre nous les regards, les gestes et les
mots qui nous permettront de fabriquer, là où nous sommes, de la paix,
de la discipline, de la solidarité, de la dignité. Un peu de vraie
justice et, s'il se peut, de vraie fraternité. Ce qu'on appelle une
nation. Un modèle pour tous les hommes.Gilles Bernheim, Grand rabbin de France
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Reïna

Reïna


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Localisation : Toulon
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MessageSujet: Re: Un discours à méditer?   Un discours à méditer? Icon_minitimeVen 11 Juin - 8:32

Qui pourra enfin m'expliquer ce que ces différents charabias viennent se greffer sur le message? Et si il y a un moyen d'y rémédier? Merci à vous...
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aime
Modératrice
aime


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Age : 55
Date d'inscription : 18/01/2008

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MessageSujet: Re: Un discours à méditer?   Un discours à méditer? Icon_minitimeVen 11 Juin - 8:41

Lol reina Un discours à méditer? 245949 Un discours à méditer? 245949 Un discours à méditer? 245949


As tu déposé ce sujet sur windows avant de le mettre ici ?
Ou alors tu l'a pris sur un site et parfois il y a d'autres messages
qui s'inscrivent en plussss !
As tu fais un copié collé voila c'est plus clair !
car ceci peut expliquer ce qui t'arrives woila .
Il serait bien que lorsque tu prend des infos ailleurs que tu mettent
le lien Reïna oki ! Un discours à méditer? 901486
c'est important Un discours à méditer? 396789 ouai ouai


est ce que tu ne veux garder que ce message là ?
Si oui je peux supprimer le premier et tu en refais un
quéqut'en dis ?
Citation :


Ces deux options sont d'actualité en France, alors même que notre
pays a longtemps été un modèle d'intégration et de laïcité. La
coexistence presque tranquille entre citoyens de confessions ou
d'origines si diverses s'est transformée, ici ou là, en tensions
exacerbées.
Au-delà du constat ou de l'explication de cette dégradation, je
souhaite dire ici ma conviction que les religions - si on s'en donne la
peine, chacun à son niveau - peuvent contribuer à une France plus
apaisée.
J'ai travaillé sur ce texte tout au long du mois de mai. L'assaut
mené par la marine israélienne et dont je déplore les victimes, lui
donne, hélas, une actualité encore plus aiguë. Au cours des dernières
décennies, l'accélération et l'amplification de la circulation des
personnes et des biens, des capitaux, des idées, mais aussi des images,
des styles de vie, et même du travail désormais délocalisé - ce qu'on
appelle la mondialisation - ont transformé grand nombre d'anciennes
spécificités locales. Aujourd'hui, les histoires, c'est-à-dire les
mémoires et les discours, se mêlent et interfèrent.
Car, en Europe, la même place et la même valeur sont aujourd'hui
données à toutes les mémoires, d'où ce sentiment de confusion,
conséquence à la fois de la mondialisation et du relativisme. Cela
requiert de repenser l'idée que l'on se faisait des communautés
humaines et cette transition ne va pas sans mal.
Une conséquence bien connue dans notre espace français de ce nouvel
état des choses est la coexistence, dans les mêmes écoles, quartiers et
lieux publics, d'hommes et de femmes nés dans différents pays, avec
leur langue, leurs usages, leurs costumes, leur vision du monde et des
rapports sociaux, et aussi avec des rivalités politiques ou religieuses
mutuelles venues d'autres horizons et nourries à leur tour
d'informations planétaires. Demain, nos villes peuvent être en
ébullition parce qu'en réaction à la situation dans la province de X un
acte de violence se sera produit dans la capitale de Y.
L'autre vient aujourd'hui de plus loin que jadis : ce n'est plus la
France qui s'étend, c'est le monde qui l'habite. Hier, ceux de langue
d'oïl et ceux de langue d'oc, le catholique et le protestant, le
sans-culotte et le Vendéen ont appris lentement, douloureusement, à
cesser de s'entre-haïr et de s'entre-tuer, à garder leur spécificité
tout en l'effaçant bon gré mal gré là où ils devaient coexister et
avoir un projet commun.
Aujourd'hui comme hier, toute pratique commune a ses règles, depuis
les jeux de société jusqu'au grand jeu de la société civile. On ne
renonce à rien de soi en acceptant, de bonne intelligence, le vivre
ensemble, sa discipline et celle de l'Etat. Tout ne saurait en ce
domaine reposer sur la pédagogie de l'école et des pouvoirs publics.
Au-delà du maintien de l'ordre, ceux-ci ne peuvent faire entendre qu'un
discours général, rationnel ou émotionnel, dont la rhétorique propre
est éloignée des nouveaux arrivés et ne fait pas référence à leurs
valeurs et affects spécifiques. Ce discours est récusé d'avance par les
extrémistes, il est sans effet sur les esprits faibles et échauffés,
fragilisés par l'exil et la précarité, et pleins d'incompréhension pour
cette France moderne qui leur est encore étrangère.
Il appartient donc à ceux qui forment les "majorités silencieuses",
et aussi à leurs élites et à leurs cadres, d'assumer leurs
responsabilités, chacun à son niveau, d'amener tous leurs membres au
pacte républicain et de faire entendre raison à leurs minorités de
boutefeux. Dussent-ils le faire au nom même et dans le langage de leurs
traditions spirituelles, là et quand le discours sur la nation et sur
les valeurs de la République n'est pas audible par tous.
Il est grand temps que chacun prenne conscience de sa responsabilité
personnelle à tous les échelons, y compris les plus modestes, ceux du
voisin ou du parent qui observe un proche en train de glisser dans une
conduite antisociale ou un délire de violence politique ou religieuse,
et qui doit le raisonner, y compris, s'il le faut pour se faire
comprendre, au nom de ses propres valeurs.
Chacune des grandes religions ou philosophies représentées dans
notre pays possède des trésors de raison, de justice et d'esprit de
paix qu'elle doit mobiliser pour aider la République à être, au
bénéfice de tous, le bras séculier qui s'efforce de faire advenir la
raison, la justice et la paix. En dépit des divergences dogmatiques,
tous les esprits de bonne foi peuvent s'entendre sur ce que l'on entend
empiriquement par là.
À l'heure où j'écris, tout cela ne saurait demeurer des vœux pieux.
Coups de couteau contre des juifs à Strasbourg et à Nîmes, mitraillage
d'une mosquée à Istres, profanation de cimetières... Des cerveaux
dérangés se livrent à des agressions sauvages parce qu'ils se sont
imprégnés de haine dans l'atmosphère viciée qui les entoure. Au-delà de
l'inqualifiable violence que constituent des épisodes de cette nature,
on sait trop quelles passions contradictoires et également déplorables
ils viennent encore exaspérer : émulation ignoble, tentation de la
stigmatisation collective, méfiance de tous à l'égard de tous.
Aujourd'hui, le havre de paix et de raison que représente encore,
malgré ses imperfections, une société comme la nôtre est en péril.
Celui qui, inversant les rapports de l'histoire et de la géographie,
prétend régler ici les conflits et les comptes de là-bas, fait fausse
route. Ici, nous n'avons pour le faire que les grands mots, les images
chocs et les informations manipulées.
Là-bas, que ce soit au Proche-Orient ou ailleurs, une paix digne de
ce nom ne se conclut jamais qu'entre ceux qui font les frais de la
guerre. La discussion est dure, parfois elle n'aboutit pas, comme
celle, dans la Bible, du patriarche Jacob et de son beau-père Laban,
lorsque l'interlocuteur persiste dans la mauvaise foi. Mais il n'est
pas d'autre voie que la discussion directe, ou, à défaut, sous la
tutelle d'un tiers garant. Là-bas, pour finir les guerres. Ici, pour
les prévenir. Discussion face à face, les yeux dans les yeux, refusant
le plaisir facile des monologues.
Nul de nous ne veut rien renier des solidarités qui l'attachent à
des frères de religion ou d'origine, malheureux, en danger à travers le
monde. Les juifs savent la force de ces liens-là. Mais ces solidarités
légitimes ne doivent pas servir d'excuse pour ne pas faire son devoir,
ici et maintenant. Chacun doit se conduire en participant pacifique,
loyal et responsable d'un destin français et européen, désormais commun.
L'histoire ne se fantasme pas, elle se construit, encore et
toujours, ancrée dans les lieux, par l'innombrable détail des actes et
des négociations. Tous autant que nous sommes, vieilles populations et
nouveaux arrivés, nous sommes condamnés à faire histoire ensemble parce
que nous partageons le même sol.
Il ne nous appartient pas d'inventer des formules qui feront la paix
au Proche-Orient ou ailleurs, encore moins d'agir ici avec violence
pour assurer là-bas je ne sais quelle victoire, mais plutôt de nous
aider du patrimoine d'expérience et de savoir-vivre de ce vieux pays
qu'est la France, de trouver entre nous les regards, les gestes et les
mots qui nous permettront de fabriquer, là où nous sommes, de la paix,
de la discipline, de la solidarité, de la dignité. Un peu de vraie
justice et, s'il se peut, de vraie fraternité. Ce qu'on appelle une
nation. Un modèle pour tous les hommes.Gilles Bernheim, Grand rabbin de France

explique nous !
zibous
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Reïna

Reïna


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Date d'inscription : 04/01/2010

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MessageSujet: Re: Un discours à méditer?   Un discours à méditer? Icon_minitimeVen 11 Juin - 8:59

Bonjour Aime;
J'ai fait un copier-coller et je l'ai reporté directement sur le forum... Si je le refais, je crains que la même chose ne se reproduise...
Je sais très bien qu'il faut citer la source, et je pensais que le nom du grand rabbin de France suffisait.
Le lien est ; Le Monde.fr "Sagesse des religions et paix républicaine, même combat"...
Avec mes excuses pour cette omission...
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sébastien
Fondateur
sébastien


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Date d'inscription : 22/12/2007

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MessageSujet: Re: Un discours à méditer?   Un discours à méditer? Icon_minitimeVen 11 Juin - 9:09

lol reina,

oui en fait ce sont les balises de mise sen forme du texte, quand on prends un texte dun autre site on neperend pas juste les mots mais la mise en forme aussi (qui est soit du bbccode ou du html) en passant je rappel que tout texte pris sur un site doit avoir le lien du site en question ne serais ce que pour cette mise en forme qui est l'oeuvre de l'auteur du site.
cette mise en forme de manière générael n'est pas prise en compte sur le forum et donc on retrouve les lignes de codes dans le texte après publication ce que tu appele reina ce charabia.


alors deux solutions, comme le dit aime si tu passe par un éditeur de texte style worpad de windows en y copiant collant d'abord l'extrait, le code va sauter et tu pourra alors recopier le texte à partir de worpad le mettre sur le forum sans probleme

la deuxième solution est d'enlever le code à la main pour ce faire il faut editer le message et appuyer sur l'option avec les deux A c'est léditeur de message il montre es codes du message toujours entre balise [] et il suffit alors déffacer les codes.

je vais corriger ton message reina dans ce sens, je suis content que tu fasse la remarque car ce serait bien si chacun qui fait des copier coller nettoye ces codes qui rendent parfois les messages fort peu clair.
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aime
Modératrice
aime


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Date d'inscription : 18/01/2008

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MessageSujet: Re: Un discours à méditer?   Un discours à méditer? Icon_minitimeVen 11 Juin - 9:23

ben woilaaa des solutions Un discours à méditer? 924592

tu es toute excusé reïna Un discours à méditer? Lol
et si tu recommence attention hein jte saute dessus

Aime
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Reïna

Reïna


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MessageSujet: Re: Un discours à méditer?   Un discours à méditer? Icon_minitimeVen 11 Juin - 13:13

Merci pour tes explications, Seb; et promis Aime je ferai plus attention, je ne voudrais pas que tu me sautes dessus Un discours à méditer? Lol , je suis fragile moa, tu sais!
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la sorciere blanche
animatrice
la sorciere blanche


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MessageSujet: Re: Un discours à méditer?   Un discours à méditer? Icon_minitimeVen 11 Juin - 15:39

a quand les fils de yahweh et les fils d'allah pourront vivrent en paix , il faudrait quand même que cette situation intenable prenne fin .

celui qui se dit croyant et brime ces frères est un menteur .....l'amour du très haut passe par l'amour de son prochain .....
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Reïna

Reïna


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MessageSujet: Re: Un discours à méditer?   Un discours à méditer? Icon_minitimeVen 11 Juin - 15:41

Alors là, je ne peux que être d'accord avec toi et espérer très fort que ça se fasse...
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MessageSujet: Re: Un discours à méditer?   Un discours à méditer? Icon_minitime

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