Un acrostiche...

ECRIRE














Eclosion d’un roman


Caresses des phrases qui chantent
à nos oreilles


Rires coquins des points
d’exclamation


Ivresse du style qui court sur le
papier


Regards muets des points
d’interrogation


Et l’écriture s’envole doucement
vers d’autres amoureux des mots

parfois doux,
parfois brutaux,
ils sont ainsi les mots,

pleins de surprises,
pleins d'interrogations,
mais qu'importe,

ils sont faits
pour vivre,
pour aimer,

mais aussi
pour alerter,
pour endormir;

douce mélodie,
dis moi qui je suis?
où j'en suis?

c'est si dur,
si long,
de bien se comprendre!

Très joli poème bourgeon, un peu nostalgique, non? Pourquoi n'essaies-tu pas un acrostiche: avec un mot,tu écris un poème en commençant chaque phrase avec la première lettre du mot... C'est passionnant!

ok! j'ai compris mais le ferais-je ? je n'en sais rien

Bourgeon,



Bourgeon, Grâce à ton poème je me suis mis à penser à une chose qu’à vécu mon mari ces temps ci.

Pendant près de trois ans mon mari s’est brouillé avec notre fille.
Elle avait 18 ans au moment de cette épreuve.

Nous avons appris sans crier gare qu’elle allait se marier et avoir un enfant.
Pour nous deux ce fut un choc mais ce choc était plus grand pour mon mari que pour moi-même. Instinctivement je me suis approchée de ma fille ( car le mal étant fait il n’était plus l’heure de parler) tout en comprenant la réaction de son père.
Pendant la brouille nous en avons jamais parlé sauf pour lui dire qu’il faisait erreur et que son devoir de père est de pardonner.

Il était parti en vacances quelques jours en Tunisie. A son retour ma petite cadette me dit bon je vais prévenir Dounia pour qu’elle ne vienne pas à la maison.
Et là mon mari dit non ne l’appelle pas laisse là venir.

C’est un moment inoubliable car j’assistée au pardon d’un père pour sa fille.
Pour revenir à l’énergie que ma fille a déclenchée qui était un produit négatif.
Cette négation a permis après 3ans à son papa de se nourrir de pardon et d’amour c’est merveilleux cette sensation de sérénité.

C’est ton poème qui ma permit de le voir.

Quand à ma fille elle vit en harmonie et maintenant ses trois enfants.

Nacre, le pardon est le plus cadeau que l'amour puisse offrir... Je suis heureuse pour toi et ta famille...

du fond du cœur.
Oui Reina j’en étais très heureuse pour mon mari j’aurai voulu arrêter le temps tellement l’émotion était magique.

bonjour nacre,
malgré la jeunesse de ta fille pour attendre un enfant, peut-on dire que c'est le mal?
c'est l'amour au contraire qui les a appelé à donner vie, cet amour entre l'enfant en attente et les parents; je sais que j'inverse le rôle car selon ce que je ressens le désir d'enfant ne vient pas des parents mais de l'âme qui cherche une entrée sur Terre et cette âme se fiche un peu des conditions matérielles des futurs parents, pas drôle parfois

un acrostiche ;

savoir
aimer
notre
dieu
roi
adoré...
sb ....

Très joli!