PRIERE

Ô Dieu d’Amour et de Miséricorde, je ne suis pas digne de me présenter à Toi, daigne entendre ma supplique et exauce mon vœu qui brûle d'un feu ardent qui me consume. Je prends acte de l'intensité de Ton Existence, ne tiens pas compte par pitié de ma pauvre et misérable créature.
Accorde-moi le privilège d'entrer dans la magnificence de Ton école. (Cherria)



Accorde à la première mesure de la règle de droit, qu'elle m'enseigne à différencier ce que pour le moment mes yeux ne peuvent voir et mes oreilles entendre. (Cherria)

Ô Dieu je Te reconnais comme étant mon véritable et unique Concepteur, à Qui je dois mon existence. Toi seul possède le pouvoir de défaire ce que j'ai fait. Je T'invoque au nom de la sainte trinité pour que Tu me nourrisses exclusivement de Ton Amour. (Cherria)

Débarrasse-moi de ce que je considère comme étant ma volonté, infuse-moi Ton Intention. Fais en sorte ô Dieu, que mon unité vibre, et raisonne uniquement que par Ta Sainte Volonté, afin que dans la durée elle coule de fait dans mon sang pour finir par être mienne. (Cherria)



Ô Dieu de Miséricorde je Te supplie de me dévêtir du sens médiocre que je me fais de l'équité censée éclairer ma demeure.
Remplace la par Ta divine, juste et humble équité, qu'elle puisse m'embraser pour ne faire qu'un avec mon être. (Cherria)



O Dieu de Bonté, permets-moi de réussir la transformation de mon devenir, selon la sainte et divine édification.


Ne tiens pas compte de mes craintes et de mes souffrances, agis au centre de mon éthéré, ajuste-le dans sa concrétisation pour être conforme et qu'il adhère avec empressement à la première mesure de la règle de droit. (Cherria)

Ô Dieu infini, insuffle dans mon cœur une fraction de Ton divin Amour.

Assiste-moi pour que je le transforme en ruisseau, qui engendrera une rivière et donnera naissance à un fleuve qui constituera l'océane de l'amour que je ressens pour Toi. (Cherria)


Une vie dans l'intention de réparation peut, se traduire par cette forme : prier, agir, souffrir et se sacrifier en unisson perpétuel avec le Cœur divin par l'intronisation de notre vénérable mère Marie.

Le secret de la sainteté est enlacé dans deux mots : se défier et se confier.
Défie-toi toujours de toi-même ; ne t'arrête pas, mais monte simultanément vers la confiance dans ton Créateur, parce que les esprits qui jouissent le plus de Sa Bonté sont ceux qui se confient davantage à Lui.

Les âmes confiantes sont les voleuses de mes grâces.
Si l'on veut me faire un grand plaisir, il faut croire en mon amour .Si l'on veut m'en faire un plus grand, il faut y croire davantage, et pour me faire le plus élevé de tous les plaisirs, il ne faut pas mettre de limite à cette foi en mon amour.
(Jésus à sœur Benigna-Consolata)


Ô ma souveraine, ô Marie, je me recommande à votre bénie protection. Je me mets d'une manière particulière sous votre garde ; je me jette dans le sein de votre miséricorde avec mon corps et mon âme maintenant, pour tous les jours et surtout pour l'heure de ma mort.

Je vous abandonne toutes mes espérances, ma consolation, mes angoisses, mes misères, ma vie et ma mort, afin que, par votre très sainte intercession et par vos mérites, toutes mes actions soient conduites et s'accomplissent selon votre volonté et celle de votre divin fils.
Ainsi soit-il.
(Saint Louis de Gonzague).